La députée européenne, qui avait déposé fin 2009 un dossier pour rejoindre le barreau de Paris, a dû dissoudre sa société «La Bourdonnais consultants», incompatible avec sa nouvelle activité, rappelle l’AFP.
Selon le Nouvel Obs, l'annonce de sa candidature avait également fait «grincer des dents» le Conseil Supérieur de la Magistrature, que Rachida Dati n’avait pas informé au préalable.